HISTORIQUE DU VRML

Historique du VRML

Débuter en VRML

Les formes de base

Couleurs et textures

Son et multimédia

Eclairage et environnement

Les formes complexes

Positionner et naviguer

Les blocs spéciaux

Les détecteurs de position

Les détecteurs spéciaux

Les animations

Les modèles prédéfinis

 

 

 

 

 

 

  • Depuis quelques années, la recherche concernant l'interface homme-machine a suscitée beaucoup d'attention auprès de la presse et l'industrie. C'est ainsi qu'une technologie appelée "Réalité virtuelle" est née. Le but de cette technologie est d'interagir avec les sens humains (interface homme-machine) : la vue, le toucher, l'ouïe...
  • 1993 : Développement d'une interface 3D par Mark Pesce et Tony Parisi incorporant une importante partie des recherches sur les réseaux et la réalité virtuelle. Pesce fut invité à présenter une communication à la première conférence internationale sur le World Wide Web à Genève. A la suite d'une réunion à propos des interfaces de réalité virtuelle, il devint necessaire de définir un langage commun permettant de définir des scènes en 3D tout comme le langage HTML, mais ce, pour les application de réalité virtuelle. Ainsi est né le terme "Virtual Reality Modeling Language" autrement dit le VRML.
  • Mise en place d'un système de mailing list pour faciliter les discussions sur les spécifications de VRML. En une semaine, il y eu plus d'un millier de participants. Ainsi, ils ont pu adopter rapidement un ensemble de contraintes pour VRML, et ont cherché des technologies pouvant être adaptées pour satisfaire ces contraintes.
  • Plusieurs candidats au titre du language VRML ont été proposé. Après de nombreuses délibérations, un consensus s'établit autour du language Open Inventor de Silicon Graphics Inc (SGI). Le format dfinit par Inventor permet la description de scènes 3D complètes avec rendu des objets sous forme de polygones, de traiter l'eclairage, l'application d'une texture à un objet et bien d'autres effets réalistes.

VRML est conçu pour satisfaire 3 critères:

  • Il doit s'adapter à toutes les plate-formes (Windows, UNIX, MAC OS...)
  • Il doit être extensible
  • Il doit travailler avec un faible bande passante (modem à 14.4 kBps)